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La nocturne Zen des petits – SEANCES DEDIEES AUX ENFANTS

A partir d’octobre, 1x/mois, initiez vos enfants aux médecines douces et aux techniques de relaxation lors de la « nocturne Zen de Mademoiselle Séraphine »

Date : A DEFINIR
A : Braine-le-Comte
Tarifs : 10€ le soin de 30min (au choix, liste ci-dessous)

MERCI D’INSCRIRE VOS ENFANTS aux séances car elles sont limitées en nombre de personnes.

Prendre un gilet zippé en plus et une paire de chaussettes de maman ^^

A bientôt
Lili
0479/982.759

Voici le programme :

Entre 16h et 17h30 : plage horaire réservée aux petits
SOINS INDIVIDUELS :
– réflexologie amérindienne
SOINS COLLECTIFS :
– initiation au massage
– relaxation
– sophro des petits

A partir de 17h30: plage horaire dédiée aux grands
Plus d’infos via mademoiselleseraphine.be  
Acompte à la réservation, non remboursé en cas d’annulation.

Soin à la carte : payez ce que vous prenez 🙂

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Quand la mémoire nous empoisonne

 Avant dernier volet de mes réflexions de Bastogne.

A mesure que les parcelles du Bois Jacques sont régénérées, les derniers foxholes vont disparaître et leur souvenir ne sera plus entretenu qu’à coups de pelle par des admirateurs de la 101ème aéroportée, qui viennent de temps en temps jouer à la guerre en costume d’époque.

 

Avec cette observation, c’est l’éternelle question de l’entretien de la mémoire qui se pose. Faut-il laisser la nature effacer lentement les cicatrices du conflit qui s’est joué ici, ou bien faut-il conserver des traces visibles du prix que des hommes ont payé pour la liberté?

 

S’il est important d’entretenir la mémoire collective à travers la conservation des vestiges du passé, la tendance à le faire aussi au niveau individuel est propablement bien coûteuse. Quand nous nous accrochons aux conséquences d’une tragédie personnelle, nous continuons à en porter les stigmates.

 

Pourtant, ces situations enfuies appartiennent au passé, et en conserver les cicatrices nous empêche d’avancer, nous immobilise dans des foxholes invisibles et nous force à revivre, même atténuées, les émotions de l’époque.

 

Un peu comme nous entretenons le feu sous la marmitte: nous finissons par nous nourrir de ces émotions négatives. Et elles finissent par nous empoisonner. Elles deviennent familières, elles deviennent notre quotidien, notre lot, ce à quoi nous nous attendons. Elles participent du pessimisme, de la dévalorisation, de l’auto victimisation et de la négativité. Et comme je ne me lasse pas de le répéter, le cerveau s’attache à faire en sorte que la réalité corresponde à ce à quoi il s’attend. Et nous voilà qui plongeons tête baissée dans les cercles vicieux. Tout un programme!

 

Je force à peine le trait, car tout cela se passe lentement, sans que nous nous en rendions compte. Aussi, peut-être avons nous tout à gagner à rendre les traces du passé au passé pour retrouver un peu de paix intérieure, un peu comme ce bois rendu à la nature est redevenu serein.

 

Mini coaching: laisser s’effacer les traces du passé

 

Les épreuves dont nous portons les cicatrices font partie intrinsèque de qui nous sommes et ont participé à notre construction. Et c’est probablement pour cela que nous nous y accrochons, parce qu’elles sont autant de preuves de notre existence, de nos expériences. Malheureusement, nous nous accrochons davantage à ce qu’elles ont eu de négatif, de douloureux, et beaucoup moins, voire pas du tout, à ce que nous en avons appris, comment elles ont contribué à façonner les personnes formidables que nous sommes (voir les dossiers à fermer).

 

Laisser s’effacer les traces du passé… l’expression me fait irrésistiblement penser aux bateaux en feuilles de roseaux de mon enfance, que nous déposions sur le canal, derrière chez ma grand-mère, et que nous regardions s’en aller lentement au fil de l’eau. Et puis il y a les trous du Bois Jacques, dans les contours s’estompent et dans lesquels, d’année en année, la terre s’accumule, jusqu’au jour où ils auront disparu.

 

Et vous, quelle image vous vient à l’esprit, si vous pensez aux traces du passé qui s’effacent?

Qu’avez-vous traversé, dont vous portez encore les stigmates?

Chacun de ces événements, comment a-t-il participé à la construction de la personne que vous êtes?

Qu’est-ce qu’ils vous coûtent aujourd’hui?

De quoi avez-vous besoin pour accepter de les laisser s’évanouir au fil de l’eau?

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Etre dans le présent

 Related Posts with ThumbnailsSylvaine Pascual – 21 août 2008 –

 

Omniprésents passé et futur

Entre le souvenir des vacances qui ne nous ont pas assez reposés, la rentrée à préparer, le rendez-vous chez le dentiste pour le gosse mardi, le poids des boulets du passé, l’idée lendemain au boulot, la fin de mois à boucler etc… (la liste pourrait être très longue!), nous nous retrouvons souvent à ressasser le passé et anticiper l’avenir, et avons bien du mal à focaliser sur l’instant présent et à le vivre pleinement. Un proverbe africain dis « demain n’existe pas ». On pourrait dire la même chose du passé, et nous perdons beaucoup d’énergie à penser à ce qui n’existe plus ou pas encore.
Petit exercice pour se centrer sur le présent

 

Choisissez un endroit qui vous plaît: sous-bois moussu ou carrelage de la salle de bains, à vous de voir. Allongez-vous, détendez-vous, et concentrez-vous sur ce que vos sens perçoivent: les sons que vous entendez, les odeurs, ce que vous voyez, le contact de ce sur quoi vous êtes allongé(e), de l’air autour de vous.
Continuez pendant au moins quinze minutes.

Et ensuite, comment vous sentez-vous?
Qu’avez-vous appris?

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Du temps pour soi !

6 techniques pour savourer l’instant

Modifier une habitude, oublier sa montre, se créer un rituel… Expérimentez des procédés simples, applicables au quotidien, pour apprécier la valeur de chaque minute.

Erik Pigani

 

Ici et maintenant, « vivre le moment présent »… Ces notions fondamentales de la philosophie zen sont aujourd’hui récupérées et considérées comme des remèdes antistress dans une époque survoltée. Or il existe bel et bien une approche zen du temps, plus subtile et raffinée que ces incantations contemporaines. Elle nous enseigne la façon de contrôler le flux du temps qui passe sans se laisser contrôler par lui. Elle nous apprend aussi que le temps est une illusion, un principe très relatif. Il existe en nous des espaces intérieurs où les secondes ne s’écoulent plus, des espaces illimités où les distances ne comptent plus, nous disent les maîtres zen.

Les années 1980 prônaient une gestion du temps tous azimuts, agenda et montre en main, dans une logique de performance et de réussite professionnelle. Il est temps de l’appréhender autrement, à des fins de bien-être individuel. Pour être capable d’appliquer au quotidien le fameux « ici et maintenant » et accéder à une nouvelle « maîtrise », c’est d’abord notre attitude intérieure qu’il s’agit de changer.

Faire de son temps une œuvre d’art

Maîtriser, mais au sens artistique du terme cette fois, c’est-à-dire être en pleine possession d’une technique, savoir l’oublier pour se laisser aller à l’inspiration du moment, reconnaître que l’on ne peut pas tout contrôler, se rendre disponible à soi-même et aux autres. Apprendre cet art du temps ne se fait pas avec un chronomètre. Les artistes le savent : ils vivent « hors du temps » et organisent leurs journées en fonction de leurs élans créatifs. Leur véritable travail, c’est d’affiner leur technique, d’être à l’écoute du monde. En se laissant guider par leur rythme intérieur, ils n’ont généralement pas besoin de loisirs pour se détendre. Pour eux, vivre le temps, c’est vivre la liberté. Et l’exprimer.

Dans ce nouvel espace-temps, il est vain de lutter. Regardez les maîtres en arts martiaux : ils ne luttent pas contre leurs adversaires, mais absorbent leurs mouvements pour mettre en œuvre leur force intérieure. Si, au lieu de combattre le temps pour le « tuer », on l’absorbe, si on le considère non comme un adversaire mais comme un allié, il devient alors un espace créatif, un temps en soi, ouvert à tous les contenus, où toutes les activités peuvent coexister.

Voici six techniques pour reprendre conscience de la nature du temps et cultiver celui-ci comme un art de vivre.

1. Définissez vos priorités

« Qu’est-ce qui compte le plus pour moi dans la vie ? » Voilà la première question à vous poser. Pour y répondre, prenez une feuille de papier et faites la liste de toutes les activités que vous pratiquez en dehors de votre travail et des bases de la vie familiale : sports, bricolage, promenades, télévision, shopping, soirées, lecture, cinéma, jardinage, vie associative, bénévolat… Classez ensuite ces activités en quatre catégories :

A Cette activité est-elle vitale pour moi ?
B Est-elle importante, mais pas essentielle ?
C Est-elle peu importante ?
D Est-ce une perte de temps ?

Vous découvrirez probablement que vous passez beaucoup de temps à faire des choses inutiles, qui vous pèsent, dans lesquelles vous ne vous reconnaissez pas ou plus. Aussi, éliminez systématiquement de votre agenda les activités placées dans les catégories C et D. Ensuite, réorganisez votre emploi du temps autour des activités des catégories A et B, en respectant ces deux règles élémentaires : vos priorités doivent être concrètes et précises pour pouvoir en apprécier immédiatement les résultats positifs ; elles doivent donc être réalisables facilement, et concourir à votre plaisir.

Bénéfice : cet exercice de base vous aidera à clarifier votre esprit, et vous incitera à vous réapproprier votre vie et votre emploi du temps.

2. Oubliez votre montre

Il est possible de vivre sans montre, par exemple en consultant parfois son téléphone portable. L’absence d’aiguilles a même un avantage : elle oblige à prendre conscience de l’instant, et non à calculer le temps qu’il reste. Un matin, oubliez délibérément votre montre. Vous allez ressentir un moment de panique, comme si vous vous lanciez dans la jungle sans matériel de survie. En cas de besoin, demandez l’heure dans la rue, regardez votre écran d’ordinateur au bureau, jetez un œil sur la pendule de la cuisine à la maison.

Bénéfice : cet exercice vous permettra de vous détacher de la perception extérieure, physique, du temps qui passe. Il conduira à privilégier vos sensations intérieures et à mieux prendre conscience du moment présent.

3. Inventez un rituel

A lire

Comment ne plus être en retard de Jane B. Burka et Leonora M. Yuen.
En remettant toujours tout au lendemain, on finit par se rendre la vie impossible. Ce livre propose tests et exercices pour apprendre à mieux s’organiser au quotidien (Pocket, 2005).

L’Art zen du temps d’Erik Pigani.
Les six techniques proposées dans ces pages font partie d’une méthode développée par notre collaborateur dans son dernier ouvrage. Une réflexion assortie de différents tests, exercices et conseils pour apprendre à gérer son temps autrement (Presses du Châtelet, 2005).

Voilà un petit arrêt dans le temps que vous pourrez facilement aménager. Les rituels existent depuis toujours et, qu’ils soient païens ou religieux, collectifs ou personnels, ils ont été pratiqués pour que nous puissions nous relier à nous-même, à notre force intérieure. C’est pourquoi ils jouent un rôle important dans notre équilibre psychique. S’asseoir pour méditer dix minutes tous les matins, s’arrêter pour faire une pause thé à 16 heures tous les jours, allumer une bougie et faire une minute de silence pour la santé de nos proches, lire une histoire en famille, sortir faire une marche…

Peu importe la nature du rituel que vous choisirez, à condition qu’il ne soit pas fait à la va-vite, comme on prend de justesse un médicament que l’on a failli oublier : il doit être fait en pleine conscience de l’« ici et maintenant ».

Bénéfice : en vous obligeant à vous concentrer, à focaliser votre pensée et votre attention, votre rituel vous aidera à faire le vide pendant quelques instants, à libérer vos tensions intérieures et à retrouver une certaine assurance pour la suite. Le rituel marque toujours un avant et un après, et permet de passer d’une activité à l’autre dans de meilleures dispositions.

4. Ralentissez vos gestes

Choisissez une activité quotidienne que vous faites mécaniquement (prendre une douche, ranger vos vêtements, faire du jardinage, etc.). Lorsque vous avez fait votre choix, avant de la commencer, prenez une lente et profonde inspiration et ralentissez à l’extrême tous vos mouvements, comme si vous étiez en apesanteur. Concentrez-vous sur votre posture, sur chacun de vos gestes, sur l’objet que vous tenez, sur le contact physique avec l’objet. Focalisez ensuite votre attention sur vos muscles et sur la façon dont vous respirez. Vous allez prendre conscience d’une quantité de détails qui vous échappent habituellement, comme la sensation de l’eau sur vos épaules, l’odeur du linge dans l’armoire, la caresse de l’herbe sur laquelle vous marchez…

Bénéfice : ralentir ainsi vos mouvements vous permettra non seulement d’instaurer le calme intérieur en quelques minutes, mais aussi de renouer le contact avec vos sens, de redécouvrir physiquement votre environnement.

5. Cassez une routine

La routine fait disparaître la conscience du présent. Certaines habitudes nous font certes gagner du temps, mais elles endorment également la vigilance, la présence à soi-même. Pour remettre l’esprit en éveil, relevez, dans votre vie quotidienne, une activité que vous pouvez considérer comme une routine, puis changez un paramètre. Vous allez faire vos courses tous les samedis à 17 heures ? Pour une fois, décidez de les faire à 13 heures. C’est vous qui préparez le repas le dimanche midi ? Passez commande chez un traiteur, demandez à vos enfants de s’en occuper, allez au restaurant… Changez d’itinéraire pour vous rendre au bureau, essayez une nouvelle boulangerie, restez chez vous pour lire un livre plutôt que d’aller au cinéma…

Bénéfice : cette attitude vous permettra de comprendre que vous vivez mieux et plus intensément en étant conscient de vos choix. Vous aurez ensuite de plus en plus envie de vous faire régulièrement ce genre de surprises… et d’en faire aux autres.

6. Ne faites rien

Si vous appelez un temps libre un temps mort, c’est que vous avez probablement l’impression de perdre un peu de votre vie. « Ne rien faire », en effet, peut être très angoissant. Ce n’est pas « prendre du temps pour soi », c’est tout simplement… ne rien faire. Tout au plus s’asseoir à la terrasse d’un café, un thé à la main, et attendre. Quoi ? Rien… Cette pause dans le temps, les artistes la connaissent bien. Pour eux, c’est une « mise en disponibilité » pendant laquelle l’inspiration peut survenir. Au cours de votre journée, arrêtez-vous de temps en temps. Asseyez-vous dans un coin de la cuisine, sur un banc du jardin, allongez-vous sur votre lit en regardant le plafond. Expérimentez le moment présent en vous disant : « Je ne fais rien. »

Bénéfice : ces moments de « jachère psychique » permettent de rompre avec le rythme quotidien et de laisser l’esprit vagabonder. Ne rien faire est une façon de renouer avec votre vie intérieure, de vous ouvrir à de nouvelles idées, d’écouter vos intuitions.

 

Faites le test !! Savez-vous ralentir ? SOurces : http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Prenez-votre-temps/6-techniques-pour-savourer-l-instant/75.-Cassez-une-routine

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N’oubliez pas l’essentiel

N’oubliez pas l’essentiel

Les mille et une péripéties du quotidien mangent notre agenda. Pourtant, ce sont les dimensions essentielles de nos vies qui devraient nous occuper le plus, pour durer et mûrir.

Jean-Louis Servan-Schreiber

Du corps

Avant 25 ans, à moins d’être sportif dans l’âme, on s’en occupe peu. La jeunesse s’en charge ; pour le reste, on verra plus tard. Mais, plus le temps passe, plus le rattrapage est pénible à mettre en œuvre. Or notre corps est à la fois le récepteur et l’amplificateur de toutes nos sensations, c’est-à-dire de nos plaisirs. Meilleur est notre état, plus intense et profond est notre plaisir.

De la sensualité

Faire l’amour ne demande pas que du désir et de l’énergie. Il faut du temps. Beaucoup si l’on vit seul et qu’il faut inclure la recherche ou l’entretien d’une ou plusieurs relations. Même au sein du couple, un véritable échange sensuel ne s’expédie pas en luttant contre le sommeil ou en essayant de ne pas réveiller les enfants. Et quand ça se passe bien, n’avons-nous pas l’impression, le fantasme, qu’il y a encore tant à découvrir ?

Des voyages

Voyager prend du temps, et c’est ça qui est bon. Du temps autrement, et ailleurs. Avec, en prime, la découverte, la connaissance du monde où nous sommes, mais c’est presque accessoire. Un voyage réussi, c’est comme une méditation active. Pendant des jours entiers, on voit sans effort les choses et soi-même différemment. Le temps du voyage vaut l’effort qu’il suppose. Combien d’années ont passé depuis que vous en avez fait un vrai ?

De l’amour

Sans présence, sans fréquence, que valent les serments ? Le temps de l’amour advient quand on s’occupe d’amour. On le fait, on en parle, on lui rend hommage de mille façons symboliques, on sacrifie à des rituels qui manifestent que cet amour existe. Quelle place y a-t-il, aujourd’hui, dans votre vie pour l’amour ? Y aurait-il davantage d’amour si vous lui aviez accordé un peu plus de temps ?

De la création

Nous ne devrions pas arrêter d’écrire, de peindre, de dessiner ou de fabriquer des objets, avec les années d’école. Mais, là encore, le temps de la création est très personnel et s’accommode mal des emplois du temps serrés. Pour être sûr d’en disposer, si l’on y tient, on peut trouver des lieux, des stages ou des concours qui justifient une concentration ponctuelle. Nous aurons toujours plus à exprimer que le temps ne nous le permet

De la solitude

Peu d’entre nous souhaiteraient vivre en solitaire, mais qui n’aimerait pas être, enfin, un peu seul ? Pour certains, c’est à minuit, quand toute la maisonnée est endormie. Pour d’autres, c’est au hasard d’un voyage professionnel, dans le cadre inspirant d’un Novotel de préfecture. Le tête-à-tête avec nous-même n’est pas toujours bienvenu, mais, s’il n’a jamais lieu, nous resterons toujours ignorant de bien des choses qui nous concernent directement.

Extraits du “Nouvel Art du temps” de Jean-Louis Servan-Schreiber (Le Livre de poche, 2002).

sources : http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Prenez-votre-temps/N-oubliez-pas-l-essentiel/7

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Les dossiers à fermer

 

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Sylvaine Pascual – 30 mai 2008 –  

 Le poids du passé

Nous avons tous hérité de notre passé des boulets à traîner, des croix à porter, bref, des événements douloureux dont la présence au fond de notre esprit se fait sentir plus ou moins régulièrement. Il suffit parfois d’un détail pour faire remonter les émotions lourdes, la peur, la souffrance qui y sont associées, et nous nous retrouvons gênés, entravés, freinés par ce passé qui nous empêche d’être nous-mêmes, d’aller de l’avant, de passer à autre chose, bref de construire la vie que l’on souhaite avoir.



C’était le bon temps

Nombreux sont aussi ceux parmi nous qui conçoivent tout ou partie de leur passé comme une époque heureuse, paradisiaque, envolée à tout jamais. Il n’est pas négatif d’avoir de bons souvenirs, loin de là ! Le problème se pose quand nous parvenons à nous convaincre que nous ne vivrons plus d’aussi beaux moments et que c’est comme ça. Là aussi, la conséquence est la difficulté à construire la vie que l’on souhaite avoir.

A quoi ça sert de fermer ces dossiers ?

Permettez-moi d’utiliser une épouvantable métaphore informatique.
Quand votre ordinateur est blindé d’informations, de vieux programmes et de tout ce que vous avez récupéré sans même le savoir en surfant sur Internet, que ce passe-t-il ? Il ralentit. Il devient mou du genou, il lui faut des heures pour ouvrir une page, exécuter une tâche etc…
Dans notre tête, c’est la même chose ! Les dossiers à fermer consomment de l’espace et de l’énergie, et nous empêchent de vivre dans le présent, d’en saisir les opportunités et de construire notre avenir. Un bon nettoyage s’impose pour libérer de l’espace !

Fermer nos dossiers nous permet de les archiver sur un espace externe (à vous de voir ce que vous préférez : clé USB, CDrom…), pour y avoir accès si et quand nous le voulons (garder le souvenir), sans qu’ils n’encombrent pas notre présent (nous libérer de leur influence).

Fermer nos dossiers nous permet de nous sentir légers comme une plume… de revenir dans le présent et la réalité.

 

Lancer le nettoyage du disque

 Dans tous les domaines de votre vie, quels sont les dossiers qui n’ont pas été fermés et qui vous pèsent ?

Ne traitez pas tous vos dossiers en même temps : quand on a trop de fenêtres ouvertes sur l’écran, on s’y perd… Priorisez, et traitez-les un par un. Pour chaque événement :


Qu’est-ce qu’il vous a  permis d’apprendre ?
Comment vous a-t-il aidé à vous construire ?
Quels sont les talents et qualités dont vous avez fait preuve pour y faire face ?

Quelle est leur influence négative aujourd’hui ?
Que pouvez-vous faire pour vous en libérer ?
Quand ?

Je vous laisse: j’ai un dossier qui m’attend! :))

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LIVRE – Petite guirlande de la méditation

Petite guirlande de la méditation – éd. Claire Lumière – 23 €

Voici un florilège de citations sur la méditation. Une immense inspiration !
Des textes splendides dans l’écrin d’une illustration magnifique. La méditation est une voie vers la réalité de notre être, un art subtil et profond, dont la grande simplicité ne veut pas dire grande facilité.
Maîtres bouddhistes du passé et du présent se sont exprimés sur ce sujet, afin de nous montrer la bonne direction, de nous éviter de partir dans des chemins de traverse ou de rester bloquer dans une impasse.

Dans ce livre merveilleusement illustré, nous présentons un bouquet de leurs paroles, dont le parfum mystérieux saura se glisser jusqu’au plus profond du cœur

Guirlande-meditation.jpg

 

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Recette !! Gommage anti-cellulite au marc de café

Gommage anti-cellulite au marc de café :

RecetteLa caféine est une substance qui agit sur la microcirculation locale, permettant la décongestion des tissus et leur drainage, ce qu’on appelle plus communément l’effet anti-cellulite.

Ingrédients Ingrédients:

  • Marc de café

 

 

 

 

 

Préparation et application :
Mouillez-vous d’abords le corps et appliquez le marc de café en effectuant de petits massages circulaires.
Rincez-vous.