Publié le Laisser un commentaire

Faites connaissance avec Ezilda Van Herpe

Peux-tu te présenter en 3 mots ?
Bonne question !
Maman, Femme, Désabusée.

As-tu déjà écrit un livre ?
Pas personnellement, non, mais j’ai aimé écrire ce premier témoignage de mon expérience dans une épreuve bien particulière et inédite.


Pourquoi penses-tu qu’il est important de laisser une trace ?
Je pense que notre mémoire est courte et que nous nous laisserons vite emporter de nouveau dans notre quotidien en oubliant à quel point nous avions pu profiter de certaines choses pendant le confinement.

Combien de pages as-tu écrit au total ?
J’en ai écrit bien plus que ce qui est édité dans ce livre. J’ai coupé et réduit fortement mon récit pour éviter de fatiguer les lecteurs qui n’ont que faire d’un quotidien qu’ils connaissent tous, je pense. J’ai donc tapé mon journal et ensuite travaillé sur le contenu. Je suis passée de 200 pages environ à 114.

Quel est le mot que tu as le plus souvent utilisé dans ton texte ?
A vrai dire, je n’en sais rien. J’ai tenté de varier mon vocabulaire, mais à mon avis, ça doit être confinement.

Comment as-tu vécu le confinement ?
Pas toujours bien, j’avoue. J’ai eu des moments où je voulais tout plaquer et me casser loin, au risque de me prendre une amende. Je me suis sentie étouffée et seule. J’ai eu l’impression, en regardant les informations régulièrement, que nous n’étions pas nombreux à comprendre la gravité de la situation. Des personnes de mon entourage ont eu le Covid-19, ce qui donne un autre point de vue.

Penses-tu que beaucoup de personnes étaient dans le même cas que toi ?
Mes proches (famille et amis), oui. Ils respectaient ce que les scientifiques préconisaient et s’étonnaient souvent de ce qu’ils voyaient à l’extérieur.

Quelles sont les thématiques que tu as choisi d’aborder dans ce livre ?
Je pense que malgré moi, j’ai abordé la thématique de la famille, de la femme qui travaille à la maison et qui s’occupe en même temps de tout, et de la société actuelle. Je me suis surtout laissée guider par mon récit. Et mes réflexions du quotidien que j’ai regroupées par phases.

Si tu devais résumer le livre, du moins ta partie, en un mot, quel serait-il ?
Eh bien… Je ne pense pas qu’on puisse dire « espoir », parce que ce serait franchement prétentieux. Je dirais « Observation ».


Penses-tu qu’on pourra te trouver dans un autre ouvrage ?
Certainement, oui ! Parce que je pense que j’y ai pris goût. J’ai commencé à prendre des notes sur un cahier concernant la cartomancie. Je n’en dis pas plus, parce que je dois encore en parler avec mon éditrice. Je pense que vous entendrez parler à nouveau de mois à l’horizon 2021.

Co-auteure de La Beauté cachée du confinement- à paraître aux Editions Eveil & Vous- pour vous le procurer, n’hésitez pas à nous contacter!

Publié le Laisser un commentaire

Faites connaissance avec Flora Jules

Flora, peux-tu te présenter en trois mots?
Sea sex and sun (rires)
plus sérieusement je dirais humour, humaniste, amoureuse

As-tu déjà écrit un livre?
Non c’est le premier. La co-création proposée par Eveil & Vous éditions est une opportunité incroyable pour un anonyme. Je n’ai pas dû réfléchir bien longtemps,… Quelque chose en moi avait besoin d’en parler, de dire, de libérer.

Pourquoi penses-tu qu’il est important de laisser une trace?
Laisser une trace est une bien belle idée, je ne sais même pas si j’y suis parvenue.
J’ai partagé quelques semaines de mon quotidien principalement  pour entamer une démarche de lâcher prise sur la situation. C’était trop pour moi: enfermement, obligations ou restrictions , les nouvelles qui se contredisent, autorisation puis nouvelles obligations. Je me sentais ballottée comme du linge dans le tambour d’une machine à laver. Les autorités compétentes me donnaient l’impression de changer de programme avant même que le cycle complet de lavage soit terminé.

Combien de pages as-tu écrit au total?
D’après mes souvenirs un peu plus de 100.
Et Ezilda pareil.
La maison d’édition nous avait demandé de respecter un canevas: Entre 100 et 120 pages chacune.

Quel est le mot que tu as le plus souvent utilisé dans ton texte?
mouton (rires)

Penses-tu que beaucoup de personnes étaient dans le même cas que toi?
Ça ne fait aucun doute. Je pense même aux parents séparés avec garde alternée
toutes les semaines. Je suis certaine que beaucoup de jugements n’ont pas été respectés, qu’il y a eu de l’abus d’un des deux parents. Ce qui m’inquiète le plus là-dedans: L’ état de santé des enfants.
Je n’ai pas non plus abordé le thème des enfants placés ou victime de violences domestiques ou de maltraitances mais j’aurais pu. Nous ne le vivons pas à la maison mais le sujet m’a beaucoup inquiété.
Tout comme les phases suivantes du confinement (celles qui arrivent d’ici septembre seront les maladies neuropsychologiques)

Justement j’allais y venir : quelles sont les thématiques que tu as choisi d’aborder dans ce livre?
Les grandes thématiques… La peur, l’enfermement à la maison vécu comme une chance, le côté énergétique de la psychose, l’influence des médias et surtout notre quotidien au pti gars et moi.

Si tu devais résumer le livre, du moins ta partie, en un mot, quel serait-il ?
c’est compliqué de résumer une histoire de 100 pages en un mot mais soyons fous! Je dirais aventure,… Ou expérience,… Ou apprentissage?
(rires)

Penses-tu qu’on pourra te trouver dans un autre ouvrage?
Écrire sous forme de roman autobiographique me plaît énormément,  j’avais bien rédigé quelques articles auparavant mais rien de tel.
Je donnais mon avis, je n’expliquais pas ma vie.
Oui, ça m’a plus,… Alors pourquoi pas?
Il est vrai que l’expérience à quatre mains était une facilité, ou une sécurité,… Pour la suite on verra si j’écris seule ou encore accompagnée (rires)

Co-auteure de La Beauté cachée du confinement- à paraître aux Editions Eveil & Vous- pour vous le procurer, n’hésitez pas à nous contacter!