Plusieurs d’entre vous m’ont demandé s’il existait une version papier du guide des contes?
Je viens de la créer!
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore le guide des sophro-contes, il s’agir de LA bible: il détient toutes les informations importantes concernant mon travail autour des sophro-contes, des fiches techniques, la présentation de ceux-ci, les prix etc
Voici le petit dernier : un exercice guidé de 17 min pour vous permettre de vous relaxer, d’intégrer les notions d’ancrage, de centrage et de ressourcement.
Moment de quiétude permettant de se libérer du stress (ambiant et en soi), de programmer un objet et de recharger le corps et l’esprit d’harmonie.
Objectifs de l’exercice
recharger ses batteries
respirer pleinement (sensations d’oppression)
restaurer la liberté et la fluidité en soi
ancrage
centrage
purifier sa vision de soi, des autres et du monde
activer le discernement et la pensée claire
Se connecter à la joie, la sagesse et la paix
A qui s’adresse l’exercice?
Pour le moment, à tout le monde :petit ou grand qui a besoin d’un break d’apaisement dans ce tumulte émotionnel causé par les restrictions sanitaires et le confinement (pour ne pas citer la fameuse bibiche qui contamine et rend dingue). Il est fréquent de se couper de ses émotions et de ses sensations corporelles dans des périodes telles que celles-ci, c’est beaucoup plus simple que de se confronter à soi :à son intériorité apeurée (et toutes les autres blessures propres à chacun). L’exercice propose de s’ancrer sainement dans la réalité sans sombrer dans la panique et sans nier ses sentiments/émotions/ressentis.
Durée : 17 min au format mp3 (audio) – prochainement disponible au format livre
Voici le petit dernier : un exercice guidé de 17 min pour vous permettre de vous relaxer, d’intégrer les notions d’ancrage, de centrage et de ressourcement.
Moment de quiétude permettant de se libérer du stress (ambiant et en soi), de programmer un objet et de recharger le corps et l’esprit d’harmonie.
Objectifs de l’exercice
recharger ses batteries
respirer pleinement (sensations d’oppression)
restaurer la liberté et la fluidité en soi
ancrage
centrage
purifier sa vision de soi, des autres et du monde
activer le discernement et la pensée claire
Se connecter à la joie, la sagesse et la paix
A qui s’adresse l’exercice?
Pour le moment, à tout le monde :petit ou grand qui a besoin d’un break d’apaisement dans ce tumulte émotionnel causé par les restrictions sanitaires et le confinement (pour ne pas citer la fameuse bibiche qui contamine et rend dingue). Il est fréquent de se couper de ses émotions et de ses sensations corporelles dans des périodes telles que celles-ci, c’est beaucoup plus simple que de se confronter à soi :à son intériorité apeurée (et toutes les autres blessures propres à chacun). L’exercice propose de s’ancrer sainement dans la réalité sans sombrer dans la panique et sans nier ses sentiments/émotions/ressentis.
Durée : 17 min au format mp3 (audio) – prochainement disponible au format livre
Transmis par email : lien de connexion à la plateforme privée, écoute illimitée – reproduction interdite
D’autres exercices sont disponibles au format audio :
Que vous soyez coach ou simple adepte de la pensée positive, je vous invite à expérimenter le contenu pour vous-même et à le retransmettre par la suite. Il existe une certification Coach Positif que je donne via un centre de formation à distance et qui est accessible à tous. Abonnez-vous pour recevoir les capsules « la boite à outils » sur cet ouvrage.
Vous recevrez également les infos concernant le concours et le prix préférentiel proposés pendant ce mois de janvier
Que vous soyez coach ou simple adepte de la pensée positive, je vous invite à expérimenter le contenu pour vous-même et à le retransmettre par la suite. Il existe une certification Coach Positif que je donne via un centre de formation à distance et qui est accessible à tous. Abonnez-vous pour recevoir les capsules « la boite à outils » sur cet ouvrage.
Vous recevrez également les infos concernant le concours et le prix préférentiel proposés pendant ce mois de janvier
Parfois, je me dis que 365 jours c’est tellement long, … je préfère penser en semaines alors ça donne 52. Nettement plus acceptable, non? En terme de délais, … par contre, je suis pleinement consciente que 365 jours dans une vie pour instaurer de nouvelles routines qui, aussitôt instaurées, deviendront dépassées, … la roue, les cycles, les changements!
La thématique de mon billet du jour est facilement trouvé. Mon challenge ’52 semaines pour perdre du poids en s’aimant autrement’ prend une toute autre tourne quand je l’envisage sous un angle neuf. Jusqu’à présent, je n’avais pas pris la peine de voir combien je pèse actuellement. Je n’avais pas non plus pris la peine de voir ce que je ne fais plus (me maquiller régulièrement, dormir beaucoup, du yoga, des promenades aux étangs, des trips d’un jour en train, …). Parce que j’ai suivi le rythme de ma nouvelle vie sans me poser la question de savoir si elle me convient. Envisagée comme une fatalité, j’ai fermé les yeux sur ma créativité, mes hobbies, mes moments.
La semaine deux met en lumière une question essentielle pour pouvoir aller plus loin, le plus loin possible (peut-être pas jusqu’au bout mais peu importe, … j’y suis!) : quelle est ma priorité? Et aujourd’hui, ce qui vient me titiller c’est ma capacité d’adaptation aux changements …
Quelle est ma capacité d’adaptation aux changements?
Faible.
J’aime rester dans une routine rassurante même si elle me consomme au point de me consumer (jolie image mais pffffffffff quel poids!). Disons que j’aime avoir le temps pour me trouver toutes les raisons du monde de ne pas le faire. Voici une des raisons pour lesquelles je fais les choses de manière impulsive: pour éviter de tomber dans cette mentalisation paralysante et ankylosante. Deux fois dans ce paragraphe j’utilise les mots poids et kilos.
Je n’aime pas les imprévus qui font perdre le contrôle et encore moins les surprises (qui viennent perturber mon organisation rassurante). Sources de stress.
Quand j’accumule tout ceci, je me dis que le travail peut aussi commencer par là : me lâcher la bride. Plus de douceur avec moi-même (moins de consommation de chocolat haha!), plus de temps pour prendre une décision (moins de stress et plus de réflexion – envisager sous plusieurs angles, demander des avis), suivre mon intuition (c’est bon, je fonce. Des doutes? j’attends).
Et si je n’osais pas? Si quelque part, les kilos, le retard, le stress, la peur de manquer, la structure mentale un peu ‘rigide’ (et certainement contrôlante) étaient en fait des bénéfices secondaires pour masquer autre chose de bien plus important! Oser! J’ai l’impression de déjà ‘oser’ beaucoup, souvent … peut-être qu’il existe d’autres méthodes pour apprendre à ‘oser autrement’ qui m’aideraient à élargir mes ressources?